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 Phytothérapie, plantes sauvages

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Schaemann

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MessageSujet: Phytothérapie, plantes sauvages   Phytothérapie, plantes sauvages Icon_minitimeSam 15 Aoû - 16:20

Achillée millefeuille
Achillea millefolium
Astéracées/composées

Phytothérapie, plantes sauvages 744425achillea_millefolium_medium

Histoire

Son nom d’espèce millefolium signifie milles feuilles au vu de son feuillage finement découpé. Elle est pareillement connue sous les noms vernaculaires Herbe aux charpentiers ou aux bûcherons, herbe de Saint Jean, herbe aux militaires ou sourcils-de-Venus, l’achillée est connue depuis bien des millénaires. Les anciens Grecs estimaient particulièrement cette plante médicinale qu’ils nommèrent d’après l’héroïque guerrier Achille qui, ayant appris du centaure Chiron les vertus thérapeutiques de la plante, s’en servit au cours d’une bataille pour panser un roi blessé. Par la suite, lors du siège de Troie, il fut mortellement blessé au talon par la flèche empoisonnée du beau Pâris, alors la déesse Aphrodite en larmes, lui conseilla d’utiliser cette plante pour calmer ses souffrances.
Ainsi naquit sa nomination d’achillée, souveraine contre les blessures à l’arme blanche. D’ailleurs pendant la guerre 14-18, faute de médication nécessaire c’est cette plante que les infir-miers utilisaient, pour cicatriser les mauvaises plaies de la guerre. Elle fut aussi connue des Celtes qui entouraient sa cueillette de rites religieux.
Ce sont les tiges d’une espèce voisine, l’achillée sternutatoire (Achillea Ptarlima L.), autre-fois médicinale mais peu employée de nos jours, qui sous le nom de Che Pou, fournissaient les 50 baguettes végétales utilisées dans la méthode divinatoire pratiquée en Chine depuis plus de 3000 ans et expliquées dans le célèbre Livre des Mutations : le Yi-King.
On l’utilise dans les campagnes non seulement pour ses nombreuses propriétés médicina-les, mais aussi pour sa faculté de conserver le vin si l’on dépose un sachet de graines dans le ton-neau.


Aspect Visuel

Mesurant de 30 à 70 cm, la plante est vivace dont la tige dure et dressée est feuillée. Les longues feuilles molle et poilues sont divisées en segments fins. Elle se remarque surtout par les groupes de minuscules petites fleurs rassemblées en ombelle aplatie, elles sont blanches ou rose, en corymbes denses et celles du centre en tube. Elles sont composées de 4 à 5 ligules larges et courtes. L’akène est blanchâtre et son rhizome souterrain est assez étendu et se présente en souche rampante.
Sa saveur est un peu amère et astringente.

Phytothérapie, plantes sauvages 930810Achillee_millefeuille_Dsvpm

Terrains de pousse

On la trouve le long des chemins, dans les prés ensoleillés, elle se plaît dans les pâturages, sur les pentes nues, dans les clairières et sur les coteaux secs. En petit groupe on la trouve comme « mauvaise » herbe dans les jardins cultivés. Elle se plaît dans les altitudes des régions de la plaine jusque dans les zones alpines (2500m), c'est-à-dire au-delà de la limite des forêts. En montagne, sa fleur prend une couleur rose ou lilas clair. Au-dessus de 3000m, l’on voit apparaître la mille-feuille musquée (Achillea moscata).
Elle est répandue dans toute la zone tempérée d’Europe et d’Asie occidentale, en Amérique du Nord, et en Australie du Sud.

Cultures

L’achillée peut-être semée en jardin et elle aura besoin de chaleur et de lumière. Chaque année elle vous donnera de beaux plants, à condition que vous n’arrachiez pas les racines.

Floraison/récolte:Juin-Octobre/Juin-Septembre

On cueillera les tiges ou simplement l’inflorescence à la floraison de juin à début septem-bre, car en ce mois la plupart commencent à brunir par manque de soleil, et avant son épanouis-sement complet. On en retirera les tiges trop épaisses et on les séchera suspendues en bottes à l’ombre, dans un endroit bien aéré au-dessous de 40°C. Une fois le séchage accompli, l’ont retire-ra les sommités fleuries de la tige ainsi que les feuilles, qui pourront être mélangés ensemble lors de la conservation. Les graines se récupéreront aisément de juin à la fin septembre.
Attention lors de la récolte chez certaines personnes sensibles, la plante peut provoquer des in-flammations cutanées qui ont été en contact avec le suc, et exposées au soleil.
La dessiccation de la drogue est dans le rapport 4/1 à 5/1 pour la plante entièrement cueillie, son inflorescence seule en perdra plus car, l’on arrive à 6/1.


Constituants et propriétés

Elle contient des huiles essentielles (jusqu’à 0,5%) au cinéol, pinène, bornéol, thuyone, sesqui-terpène et d’autres substances dont le chamazulène, ainsi qu’un principe amer l’achilléine, des flavones et du tanin. On y trouve aussi de la résine, un alcaloïde, des acides organiques, du phos-phore, du potassium et des matières azotées, elle a tous ce qu’il faut pour guérir la belle des prés !
Elle stimule la sécrétion des sucs gastriques et des glandes intestinales, elle est aussi astringente, anti-inflammatoire, antiseptique, carminative, cicatrisante, cholérétique, dépurative, légèrement diurétique, emménagogue, hémostatique, tonique et vulnéraire. Elle régularise très bien la fonc-tion rénale.

Maladies guérissables

C’est la plante des femmes par excellence, celles qui ont des problèmes de ménopause ou même de règles, qu’elles soient trop abondantes ou pas assez devraient en consommer souvent.
Améliore autant la circulation sanguine, q’elle en diminue les hémorragies internes et externes telle que les hémorroïdes saignant fortement. Elle a une action bénéfique sur la moelle osseuse, et en partant sur la régénération du sang elle guérira les varices. Elle soigne les affections de la moelle, là où toute autre médication a échoué, même en cas de nécrose osseuse (suivre un traite-ment de tisane, bain et friction avec sa teinture).
Utilisée conjointement avec la racine de roseau odorant, elle peut même aller jusqu’à guérir le cancer du poumon. On mâchera la racine de roseau pendant la journée et matin et soir on en boira une tasse d’achillée par petites gorgées.
On la servira pour toute les affections digestives, en partant des aigreurs d’estomac jusqu’aux lourdeurs ou brûlures d’estomac, d’indigestion et même l’anorexie et les flatulences.
Il y aura aussi l’acné et les problèmes de peau qui y seront réglés, la cellulite, les chutes de che-veux, la gale, les rhumatismes, les problèmes de seins.

Usages divers

* Bain de siège
100g d’achillée en plantes entière et fraîches si possible, seront mises à macérer dans de l’eau froide toute une nuit. Le lendemain, porter à ébullition et ajouter à l’eau du bain.
Démangeaisons de la vulve, descentes de la matrice (ainsi que 4 tasses par jour d’alchémille, et des massages de teinture de bourse-à-pasteur de la vulve en remontant au bas-ventre), in-flammation des ovaires, incontinence urinaires nocturnes, irritation des nerfs (plonger les bras et les jambes), pertes blanches (tout en buvant au moins 2 tasses d’infusions par jour), les myomes.
* Décoction
Pour les lotions, lavements et usages externes comptez-y une bonne poignée par litre d’eau.
L’on pourra confectionner des enveloppements pour les éruptions cutanées et en gargarisme pour les infections buccales et les maladies des gencives. En bain de mains et de pieds comme tonique et dépuratifs, en compresses sur les blessures et comme antiseptique.
* Infusion
Une cuillère à thé dans ¼ de litre d’eau bouillante ou 10 à 20 pincées par demi-litre d’eau. L’on n’en préparera qu’une dose restreinte car, ce breuvage noircit et se détériore vite à la lumière. On la consommera à raison de 2 à 3 tasses par jour.
En usage interne elle est employée pour les troubles des fonctions digestives ainsi que comme hémostatique dans les cas d’hémorragies pulmonaire ou rénale et de ménorragie. On l’utilisera aussi pour les maux de tête grave, les étourdissements, malaises, douleurs oculaires avec lar-moiement, douleurs lancinantes dans les yeux, saignements de nez. Avec ce procédé on y régularisera les fonctions rénales tout en redonnant l’appétit, elle fera disparaître l’aérophagie. En activant la sécrétion des glandes intestinales, elle favorisera ainsi la régularité des selles. Comme en usage interne elle améliore le système circulatoire de sa propriété dépurative, elle agira sur les crampes des vaisseaux sanguins, elle se fait donc recommander chaudement contre l’angine de poitrine.
S’il s’agit de traiter une affection nerveuse, ajouter quelques feuilles de mélisse et une pincée de fleurs de camomille.
* Pommades
Bien chauffer 90g de beurre frais ou de saindoux, y jeter 15g de fleurs fraîches d’achillée, 15g de feuilles de framboisier, le tout hacher menu. Laisser frire peu de temps, remuer et sortir du feu. Le lendemain, réchauffer le tout, filtrer et presser dans une toile de lin. Remplir dans de bocaux en verre propres et fermant bien, garder au frigidaire. On la réchauffera un peu avant chaque emploi.
Elle est très utile contre les hémorroïdes et les gerçures et agit donc comme Hémostatique et antiseptique.
* Suc frais
Broyer toute la partie aérienne de la plante, et exprimer le jus à travers un linge. Si à la moindre apparition de boutons sur les endroits où il a été appliqué, arrêter immédiatement le traitement, car comme pour la pommade ci-dessus, certaines personnes supportent assez mal l’achillée.
* Teintures
Une bouteille est remplie jusqu’au col sans tasser avec des fleurs, et ceci sera couvert d’alcool à 38 ou 40°. En laissant macérer 15j au soleil ou au chaud près d’un poêle dégageant environ 20°C.
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MessageSujet: Re: Phytothérapie, plantes sauvages   Phytothérapie, plantes sauvages Icon_minitimeSam 15 Aoû - 16:22

Ail des ours
Allium ursinum

Liliacées

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On raconte que les ours en sortant de leur sommeil hivernal, vont chercher cette plante pour se nettoyer l’estomac, les intestins et le sang, et c’est cela qui lui à donner son nom d’espèce.


Aspect visuel

Au début du printemps, son bulbe est un oignon allongé qui est enveloppé de pelures blanches transparentes qui laisse apparaître deux ou trois feuilles lancéolées ressemblant à celle du muguet. Leur vert franc et l’odeur aillée qu’elles dégagent attirent l’attention et on les ramasse souvent pour des salades au printemps. Les tiges florales portent une ombelle de petites fleurs étoilées, à 6 pétales, d’un blanc neigeux et fait environ 30cm de haut.

Terrain de pousse

L’ail des ours pousse en grandes colonies dans le sol riche en humus des forêts feuillues et dans les vallées fertiles, sur les alpages ombragées et humides.

Propagation

Se sont les fourmis qui transportent les petites graines noires, assurant ainsi la distribution de cette précieuse plante médicinale.


Floraison/Récolte:Avril-juin/Avril-Octobre

Le mieux est de l’utiliser fraîche car, sécher elle perd rapidement ses vertus. Sinon pour en faire un condiment, sécher les feuilles coupées au printemps et en été à une température à l’ombre de 40°C. Le bulbe se récoltera en fin d’été ou en automnes.

Constituants et propriétés

Huile essentielle sulfureuse, aldéhyde, vitamine C.
Facilite la digestion, dépuratif, vermifuge et vasodilatateur léger.

Maladies guérissables

On y règlera les désordres digestifs comme les flatulences, diarrhées aiguës et chroniques, les coliques, constipation, et agit favorablement sur les parasitoses intestinales et même les ascarides en seront chassé de vos entrailles. Les insomnies venues de ces troubles en seront à nouveau inexistantes.
Agissant en même temps sur les troubles cardiaques et de circulation, on règlera l’hypertension, la calcification des artères, tels que les étourdissements, la tête lourde ou l’oppression.
Son vin agit merveilleusement sur les affections respiratoires.
Comme tous les ails ou oignons qui sont de la même famille, l’ail des ours agira comme dépuratif sur les affections dermiques.
Le médecin naturaliste et prêtre suisse Künzle prônait particulièrement l’utilisation de cette plante :
« Elle nettoie l’organisme tout entier, en chasse les matières malades ou sclérosées, régénère le sang, détruit et expulse les matières toxiques ». Les gens éternellement maladifs, ceux qui ont des dartres, des figures pâles, scrofuleux et rhumatisant devraient être en adoration devant l’ail des ours. Aucune médication au monde n’est aussi efficace pour nettoyer l’intestin, l’estomac et le sang. Les jeunes gens s’épanouiraient comme des roses d’espalier ou comme une pomme de pin au soleil. Künzle dit avoir vu des familles entières de malades guérir de ces maux en usant de la cure de l’ail des ours.

Usages divers

En usage interne, les personnes à l’estomac délicat, hacheront finement les feuilles et les oignons bien fins, les couvrir de lait chaud, laisser macérer deux à trois heures, puis boire le jus obtenu.

*Condiment
Le mieux est de la consommer fraîches, les feuilles seront hachées menus et consommées sur des tartines beurrées ou encore comme condiment dans la soupe de chaque jour (ne pas les faire cuire), sur des pommes de terre, dans des boulettes de pain, de pomme de terre, de farineux et tous les plats où on utilise généralement du persil. Dans ce dernier cas, on adoucit leur goût très fort en les mélangeant avec des feuilles d’orties.
Le bulbe quant à lui sera utilisé comme l’ail domestique.
*Jus
On enduira de jus de feuilles les plaies cicatrisant mal, et les troubles coronariens seront de ce fait apaisés. Comme l’ail des ours est un dépuratif, on l’utilisera dans le cas d’affections dermiques chroniques, les dartres, les scrofuleux et rhumatisant.
*Liqueur
Remplir un flacon jusqu’au col sans tasser, de feuilles fraîches ou de bulbes finement hachées, remplir d’alcool à 38 ou 40°, fermer hermétiquement et laisser macérer au soleil ou à côté d’une source de chaleur deux semaines au moins. Prendre quatre fois par jour 10 à 15 gouttes dans de l’eau.
Ces gouttes développent la mémoire et empêchent la calcification des artères.
*Vin
Faire bouillir rapidement une poignée de feuilles hachées dans ¼ de litre de vin blanc, sucrer selon goût avec du miel ou du sirop. En boire quelques gorgées par jour, très lentement.
Ici nous agirons sur les affections pulmonaires telles que l’engorgement des poumons, et agit sur les vieilles toux. De ce fait la gêne respiratoire en diminuera. On y guérira aussi l’œdème pulmonaire et l’hydropisie.
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MessageSujet: Re: Phytothérapie, plantes sauvages   Phytothérapie, plantes sauvages Icon_minitimeSam 15 Aoû - 16:33

Phytothérapie, plantes sauvages Img-1430547z8yc

Aigremoine eupatoire

La plante atteint de 30 à 80 cm de haut et elle est recouverte de poil doux. Vivace dont la tige simple, velue et cylindrique est dressée. Elle est rougeâtre, non ramifiée et porte une rosette basale de feuilles composées de 3-6 paires de folioles principales entre lesquelles s'intercalent des paires de folioles plus petites.

Les fleurs sont jaunes assemblées en grappes terminales s'élevant jusqu'à 80 cm du sol. Elles sont nombreuses en épi allongé et l’on pourra y compter 5 pétales possédant 10 – 20 étamines, 2 styles. Elles se reposent dans un calice à crochets non rebroussés.

Ses feuilles ont environ 10 cm de long et sont pennées. Elles sont grisâtres dessous à stipules embrassantes, composée de 5 à 9 folioles. Dentées elles s’alternent avec 5 à 10 plus petites feuilles. L’ont y verra 1 ou 2 akènes coniques, sont rhizome traçant est épais.

Les fruits sont des akènes, marqués de sillons. Ils possèdent des poils crochus à leur sommet et se détachent facilement, ce qui facilite leur dissémination par les animaux ou les êtres humains.

La drogue à une odeur faiblement aromatique, et une saveur âcre et amère.

Etymologie:
Plusieurs étymologies grecques ont été proposées pour Agrimonia : il viendrait soit de Agros, champ et monia, sauvage qui ferait allusion à son habitat, soit de Argemone, taie de l’œil, en rappel à ses propriétés ophtalmologiques de la plante

Caractéristiques

* organes reproducteurs :
o Type d'inflorescence : épi simple
o Répartition des sexes : hermaphrodite
o Type de pollinisation : entomogame, autogame
o Période de floraison : juin à septembre
* graine
o Type de fruit : akène
o Mode de dissémination : épizoochore
* Habitat et répartition
o Habitat type : ourlets basophiles médioeuropéens mésohydriques, planitiaires-collinéens
o Aire de répartition: eurasiatique

Terrains de pousse

Elle pousse dans les endroits ensoleillés et secs au bord des chemins et des clairières des forêts, en lisière de champs, sur les talus, sur les pentes, sur les collines, dans les clairières et près des ruines. Ses terres préférées sont celles riches en argile dont les pâturages maigres ou les clairières ensoleillées, on la découvrira de la plaine aux avants monts (1000m).
Son habitat principal est situé en Europe du Nord sauf dans les régions Arctique, également elle sera en Europe centrale et orientale, y compris le Caucase donc en Asie de l’Ouest. Elle a voyagé jusqu’en Afrique du Nord et on tombera dessus en Amérique du Nord.

* Partie utilisée : sommité fleurie et feuilles
Les sommités fleuries sont récoltées en pleine floraison et avant que les fruits ne soit formés (juillet-août). Les feuilles de mai à juin.
Dessication: les étendre en couche mince pour les faire sécher à l’ombre dans un endroit bien aéré. On pourra aussi les sécher en artificiel à une température d’au plus 40°C. La feuille se dépècera de son eau à raison de 4kg pour 1kg séché et la fleur dans le rapport 5kg pour 1kg.
* Composant chimique : Tanins condensés, terpènes, flavonoïdes, phytostérine, eupatorine, vitamines K et P, silice (plus de 10%), des glucosides aux principes amers. On y trouve aussi de la gomme, du fer, des vitamines B et K ainsi que des acides amide nicotinique et silicique.
* Propriétés : Astringent, vulnéraire, anti-inflammatoire, cholagogue, antiaphonique, diurétique léger, résolutif, vermifuge
* Mode d'emploi : principalement sous forme d'infusion, de poudre ou d'extrait sec.

En usage interne : traitement des diarrhées légères, en cas de digestion lente et difficile, dans l'insuffisance veineuse et les crises hémorroïdaires.

En usage externe : hygiène bucco-pharyngée (gargarismes), affections dermatologiques (antiprurigineux), effets décongestionnants sur les hémorroïdes et les problèmes circulatoires des membres inférieurs.


Bains
200 g dans un bain complet
Les enfants scrofuleux doivent prendre un tel bain tous les jours.
Dans les bains de mains et de pieds, on en jettera deux poignées de fleurs et de feuilles sèches dans une cuvette d’eau très chaude. Prenez le bain immédiatement, ou laissez reposer 12h et ne le prenez qu’ensuite. Il en sera fait pour combattre les migraines.
Emplâtre
En trempant un linge dans la décoction à raison de 10g dans ½ litre d’eau bouillie, on en fera un emplâtre dans les cas d’usages externes, tels que les blessures, les rhumatismes avec une infusion, les lumbagos… fera réduire le mal dans sa profondeur. On l’utilisera également dans les éruptions cutanées persistantes et chroniques.
Gargarismes
Jeter jusqu’à 2 poignées de feuilles sèches dans un litre d’eau, et faire bouillir jusqu’à réduction d’un tiers. En ajoutant 50g de miel et si possible, une poignée de tilleul et une poignée de sauge, on en usera plusieurs fois par jour contre les angines, les aphtes, les laryngites et les pharyngites.
Pommade
Mettre le contenu de deux mains jointes bien remplies de la plante fraîche entière avec ses feuilles, fleurs et tiges. Trituré le tout avec 250g de saindoux.
Elle est vivement conseillée contre les varices, les blessures, ulcères se cicatrisant mal et les escarres du bas de la jambe.
Tisanes
Une cuillère à café de fleurs et/ou de feuilles dans ¼ de litre d’eau bouillante, ou ½ poignée par litre d’eau. On en prendra 3 à 5 tasses dans la journée.
En les prenant en tisane ou en emplâtre, les feuilles sont utilisées contre les anémies sanguines, les blessures, et elles sont utilisées avec succès contre les rhumatismes, le lumbago.
Elle exerce une influence nettement favorable sur l’activité des organes de la digestion, sur le foie et la vésicule biliaire. On la prendra dans ce cas pour les digestions difficiles, les cirrhoses et les blocages du foie ainsi que les maladies de la rate.
Avec 3 tisane par jour, l’ont se remettra des dilations du cœur, de l’estomac, de l’intestin, et de poumons, ainsi que des maux de reins et de la vessie.
En mélangeant de l’aigremoine, du gaillet et de l’aspérule odorante à raison d’une mesure de chaque, l’ont utilisera cette mixtion pour les affections hépatiques à raison d’une bonne cuillère pour une tasse.
Vin
Jeter 4 poignées de plante sèche dans un litre de vin rouge, et faire bouillir 5 mn. Laisser reposer pendant une heure. On l’utilise pour laver et panser les plaies infectées.
En ajoutant du son à ce breuvage, le remède en devient un topique résolutif capable de fondre les tumeurs et les engorgement articulaires.
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MessageSujet: Re: Phytothérapie, plantes sauvages   Phytothérapie, plantes sauvages Icon_minitimeSam 15 Aoû - 20:28

Acanthe (Acanthus mollis L.)
Acanthacées

Phytothérapie, plantes sauvages Acanthe

Son histoire

Nos aïeuls la connaissent aussi sous les noms de Brancursine, Acanthe à feuilles molles. Son surnom Patte d’ours vient de la forme de ses feuilles sombres et luisantes qui inspira dit-on, le sculpteur grec Callimaque lorsqu’il créa les motifs du chapiteau corinthien.

Les médecins de l’Antiquité recommandaient pour de nombreux usages la plante en infusion. Dioscoride et Pline l’estimaient diurétique, efficace contre les irritations viscérales et même préventives de la tuberculose pulmonaire. Mais le Moyen Age semble l’avoir totalement oubliée. Elle est aujourd’hui couramment employée en usage externe sous forme de bains, de compresses, de cataplasme ou de gargarismes.

Aspect visuel

Du haut de sa tige florale dressée de 40cm à 1,50m cette plante vivace est robuste et peu feuillée à la base. Elle nous présente ses grandes feuilles molles et basales et nous montre leurs profondes découpures. Les fleurs blanches sont souvent striées de pourpre, en mesurant 5 à 6cm de long elles se présente en sessiles en long épi sur 4 à 6 rangs verticaux très distincts, munies d’une bractée épineuse et de 2 bractéoles étroites. Son calice en 4 lobes inégaux dont le supérieur est en grand casque violacé renferme une corolle à une lèvre inférieure large, à consistance de papier, trilobée, elle contient 4 étamines soudées à la corolle. La capsule brune est lisse, explosive et contient 2 à 4 graines grosses, luisante et elle-même brune. Sa souche est épaisse, à fortes racines blanchâtres.
Au goût, sa saveur est amère.

Territoires d’habitations

Assez rares à l’état sauvage, l’acanthe est bien plu souvent cultivée comme plante ornementale dans les haies ou les jardins, pour l’élégance de ses grandes fleurs blanches veinées de pourpre. Elle est présente sur tout le pourtour de la Méditerranée et un peu dans toute l’Europe.
On la trouvera si l’on a de la chance, dans les endroits rocailleux ainsi que dans les décombres, et ceci jusqu’à 300m d’altitude.

Le moment des récoltes

Floraison : Juillet/Août
Les feuilles et les fleurs se récoltent de juin à août, la racine quant à elle se déterre au mois d’octobre.
Afin de conserver la meilleure efficacité aux fleurs, il faut les cueillir en plein épanouissement et les sécher lentement à l’ombre. Par contre les feuilles et les racines seront séchées dans un four assez chaud, quoi qu’il elle conseillé de consommer les feuilles fraîches.

Constituants et propriétés

Constituée de sels minéraux, mucilage, glucides, tanin et substance amère, l’acanthe s’en fait une apéritive, cholérétique, émollient et vulnéraire.

Maladies guérissables

On pourra y guérir sous forme d’infusion à boire ou de compresses à base de la décoction, les angines, brûlures, contusions, dartres, diarrhées, les problèmes de digestion, et les piqûres.
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MessageSujet: Re: Phytothérapie, plantes sauvages   Phytothérapie, plantes sauvages Icon_minitimeSam 15 Aoû - 20:40

Ache Apium graveolens L.


Phytothérapie, plantes sauvages 20090317_144328

Son histoire

Reconnue aussi sous les noms d’Ache des marais, Céleri sauvage, Ache puante.
Connue depuis l’Antiquité, l’ache était déjà cité par Homères dans l’ « Odyssée ». les Egyptiens, les Grecs et les Romains en appréciaient ses vertus médicinales. Elle fut cultivée à partir du 16e siècle et a fourni plusieurs variétés de légumes consommé sous les noms de céleri en branches et céleri rave. A cette époque elle fut tour à tour employée comme condiment, légume et remède. Elle passait pour guérir la mélancolie, pour éloigner les maux de dents et surtout, pour améliorer le fonctionnement des reins et de l’appareil urinaire, et c’est encore aujourd’hui sa vertu principale. Son nom latin Apium ou encore Apon en Celte signifie eau, car en effet cette plante aime les prés humides et les terres imprégnés de sel.

Aspect visuel

Mesurant de 30cm à 1m, l’ache est bisannuelle. Sa tige dressée et cylindrique, profondément cannelée, glabre, creuse et rameuse. Ses feuilles sont luisantes de couleur vert foncé, a les inférieures pétiolées, divisées en 5 segments dentés sur 2 bords, les supérieures à 3 segments plus étroites. Ses petites fleurs blanchâtre se présente en ombelle lâches, sans involucre et souvent sessiles réparties en 6 à 12 rayons inégaux, elle possédent 5 étamines, deux pistils. Le fruit sera gris, glabre à 5 côtes filiformes. La courte souche est pivotante et brune dehors, blanchâtre à la coupe. L’odeur en est forte et caractéristique, sa saveur est très aromatique.

Territoires d’habitations

On la trouve en Europe à proximité des marais salants de la méditerranée, de l’Océan et de la Manche et à l’intérieur des terres, près des sources salines. Elle est seulement décelable jusqu’à 100m.

Récoltes

Floraison et récolte: Juillet/Août
On utilise les racines, les feuilles et les fruits.

Constituants et propriétés

Huile essentielle, substances azotées, une oléorésine, des sucres, de la coumarine, et des vita-mines B et C.
Ce qui fait que la plante est carminative, dépurative, diurétique, expectorante, fébrifuge, résolu-tive, stomachique, et tonique.

Maladies guérissables

Albuminerie, allaitement, arthrite, catarrhes, contusion, lithiase, météorisme, teint toux.

Usages divers

Ne consommez pas la plante fraîche.

La racine d’ache entre dans la composition du sirop des cinq racines où elle voisine avec celles de l’asperge, du fenouil sauvage, du persil et du petit houx encore appelé fragon épineux.

Bouillies dans du lait
20g, l’on boit ce lait tiède et sucré pour éliminer les catarrhes.
Pommade
Après avoir fait bouillis des feuilles d’ache dans l’eau, faites passer le liquide puis mêlez-y du saindoux et des graines écrasées de la plante, et refaire cuir. Avec cette pommade chaude, fric-tionnez les parties atteintes de paralysie par le froid. Ce remède est également excellent contre les engorgements des glandes et du sein.
Suc
20g de suc des feuilles est efficace aux problèmes de miction.
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MessageSujet: Re: Phytothérapie, plantes sauvages   Phytothérapie, plantes sauvages Icon_minitimeSam 15 Aoû - 20:50

Agripaume cardiaque (Leonorus cardiaca)
Lamiacées/Labiées

Phytothérapie, plantes sauvages Agripaume

Son histoire

Les anciens connaissaient sans doute l’effet que cette plante exerçait sur le cœur comme l’indique son nom d’espèce. Son nom universel, Leonorus, est composé d’un mot latin, leo, et grec, oura, queue, qui rend compte de l’aspect de son épi floral. Son nom d’espèce cardiaca lui a été donné par Théophraste et il provient comme vous l’aurez deviné vous-même, de sa très ancienne réputation d’agir sur les douleurs tant gastriques que cardiaques. Son nom français vient du latin ager, champ et palma, mains qui est sûrement une allusion aux digitations des feuilles inférieures.
Elle a été cultivée dans les jardins des monastères au 15e siècle. Ambroise Paré la mentionne cent ans plus tard. Encore très réputée au18e siècle et vantée avec excès, la plante tomba dans d’oubli.

Aspect visuel

Son rhizome horizontal est garni de nombreuses petites racines. Ses tiges raides et élevées, sont rameuses, pubescentes et carrées. Couvertes de poils rêches, elles peuvent mesurer dans leur ramification entre 50cm et 1,50 m de haut. Ses feuilles supérieures sont opposées et pubescentes et se présentent en paires à angle droit les unes des autres. Elles sont d’une couleur vert foncé au dessus et cendrée en dessous. Elles sont palmées, à 5 ou 7 pointes et légèrement velues, et sont vert foncé sur le dessus, plus clair en dessous. Les inférieures sont palmées à cinq digitations profondes. A leur aisselle apparaissent de nombreuses fleurs dont les pétales reposent sur un calice en entonnoir. D’un rose clair, elles portent des marques rougeâtres et s’élargissent vers leur extrémité. Elles sont velues en dehors et se présente en verticilles serrés sur toute la longueur de la tige, son calice a 5 dents dont les 2 inférieurs sont recourbés en crochets. La corolle est velue, avec une couronne intérieure de poils
La plante dégage une odeur forte et désagréable.

Territoires d’habitations

Venue d’Asie vers le 7e siècle, l’agripaume s’est ensuite répande dans presque toute l’Europe à l’exception de la région méditerranéenne. On la trouve aussi en Amérique du Nord. Elle pourra croître jusqu’à 1000m d’altitude.
La plante vivace croît à l’ombre des haies et recherchant les vieux murs, elle se dresse pyramidale, dans les maisons en ruine et jusque dans les rues des villages. En parcourant des chemins au sec et à l’ombre, il se peut de la trouver au bord de nos promenades.

Le moment des cultures

Le nectar de ses petites fleurs roses attire les abeilles, pourquoi ne pas mettre un rucher à proximité de la plante, pour son expansion sur un terrain agricole ?

Le moment des récoltes


Cueillir les rameaux à la floraison (Juin-Septembre), puis sécher à l’ombre. Elle est de préférence a employer fraîche, car les feuilles séchées noircissent et perdent leur efficacité.

Constituants et propriétés

Elle contient des principes amers, léorunine, glucosides aux principes amers, alcaloïdes, tanins, traces d’huile essentielle, résines.
Elle a une action sédative légère et régularisante. Elle est aussi antispasmodique, cicatrisante, détersive, emménagogue, expectorante et tonique.

Maladies guérissables

Au vu de son nom vernaculaire, elle est bien sûr utilisée pour les troubles cardiaques d’origine nerveuse. Ainsi elle est fort efficace lors de troubles cardiaques purement nerveux comme les palpitations.
En décourageant les flatulences, elle contrôlera la diarrhée, et en stimulant l’utérus elle pourra être aussi utiliser pour les problèmes de menstruation et les problèmes du à la ménopause.
Nous pourrons aussi traiter la bronchite, diarrhée, le météorisme, les palpitations et plaies.

Usages divers

Ses feuilles et ses fleurs en tisanes, ont été regardées par les anciens, tels que Dioscoride, Galien et Pline, comme étant un précieux remède pour combattre les palpitations de cœur, les convulsions et même l’épilepsie. Elles ont été constatées douées d’une réelle valeur dans cette dernière maladie et dans la rétention d’urines.
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